Parallèlement, elle étudie la statuaire et publie des mémoires historiques. En 1849, l'Académie des inscriptions et belles-lettres accorde une mention honorable à sa monographie sur les statues de la cathédrale de Chartres et, en 1861, un prix à son œuvre majeure, une histoire de l'abbaye de Saint-Denis. Elle publie ensuite, pour des revues d'art et d'archéologie, plusieurs études de « zoologie mystique » sur les emblèmes bibliques et le symbolisme architectural, entre autres sur le dragon, la belette, l'aurochs, l'éléphant et les quatre animaux de l'Apocalypse.
Devenue « dame dignitaire honoraire » de son école, elle prend sa retraite dans le pays d'Agen, au château de Castelnoubel, où elle continue jusque dans son grand âge à tenir salon et à composer des poésies empreintes de mélancolie chrétienne.