PLUME DE POÉSIES
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.

PLUME DE POÉSIES

Forum de poésies et de partage. Poèmes et citations par noms,Thèmes et pays. Écrivez vos Poésies et nouvelles ici. Les amoureux de la poésie sont les bienvenus.
 
AccueilPORTAILS'enregistrerDernières imagesConnexion
 

 Victor HUGO (1802-1885) La femme , les deux trouvailles de Gallus Acte deuxième La marquise Zabeth scène IV

Aller en bas 
AuteurMessage
James
FONDATEUR ADMINISTRATEUR
FONDATEUR ADMINISTRATEUR
James


Masculin
Dragon
Nombre de messages : 152364
Age : 60
Localisation : Mon Ailleurs c'est Charleville-Mézières
Date d'inscription : 04/09/2007

Victor HUGO (1802-1885) La femme , les deux trouvailles de Gallus Acte deuxième La marquise Zabeth scène IV Empty
MessageSujet: Victor HUGO (1802-1885) La femme , les deux trouvailles de Gallus Acte deuxième La marquise Zabeth scène IV   Victor HUGO (1802-1885) La femme , les deux trouvailles de Gallus Acte deuxième La marquise Zabeth scène IV Icon_minitimeDim 18 Sep - 15:23

LA FEMME , LES DEUX TROUVAILLES DE GALLUS , ESCA , ACTE



DEUXIEME : LA MARQUISE ZABETH , SCENE IV .

Gallus.
Vous renvoyez vos gens. Solitude complète.
C' est tout à fait aimable.
Il s' assied.
Montrant un grand trumeau à glace derrière Zabeth.
Ah ! Ce trumeau reflète
des appas, qui feraient tourner la tête...
Zabeth.
à qui ?
Pas à vous.
Gallus.
Je suis vieux. Mais ce petit Créqui...
Zabeth.
à lui pas plus qu' à vous, prince. D' ailleurs, qu' importe !
Je crois qu' il vient un peu de vent par cette porte.
Elle va à la porte du fond, comme pour s' assurer que personne n'
écoute,
l' entr' ouvre, puis la referme.
Gallus prend une bouteille, emplit le verre de Zabeth, puis le
sien.
Zabeth revient s' asseoir.
Gallus, regardant le couvert.
Joli dessus de table !
Il boit tout en examinant l' orfévrerie.
Oui, j' aime ce sommeil
des nymphes sous des rocs sauvages, en vermeil.
Il prend une pièce de gibier et la découpe.
Le râle de genêt. Fin gibier. ça patauge
tout l' été dans le thym, la lavande, la sauge,
la mauve, et ça devient exquis, surtout avec



la choucroute tudesque et le bon vieux vin grec.
Il offre une aile à Zabeth, met de la choucroute dans son
assiette
et se verse à boire.
Dites-moi, trouvez-vous ici quelque lacune
dans l' hôtel, dans la table ou le service ?
Zabeth.
Aucune.
Gallus, désignant du doigt le jardin.
Vous pourriez pour ce parc, c' est un conseil, pardon,
commander deux ou trois déesses à Houdon.
Zabeth.
Tout me vient de vous, duc, je dois le reconnaître.
Gallus, tout en mangeant et tout en servant zabeth.
Ce tout n' est rien, madame. Une femme est un être
charmant parce qu' il est tremblant, fort éperdu,
très frêle, et qui doit être en tout temps défendu
contre tout ce qui peut d' une ride être cause,
contre un frisson d' aurore et contre un pli de rose.
Il faut sur son alcôve un chant de séraphin,
le nectar à sa soif, l' ambroisie à sa faim ;
de nos jours, ce progrès est goûté de Tartuffe,
le nectar est sauterne et l' ambroisie est truffe,
et quant au séraphin, il s' appelle Grétry.
Des millions ! Sans quoi, la femme, ange meurtri,
languit, souffre. Exister, madame, est nécessaire.
Il faut tuer le temps qui nous tient dans sa serre ;
donc des plaisirs ; toujours, sans trêve, hier, aujourd' hui ;
on ne saurait percer de trop de coups l' ennui.
Avoir froid est ignoble ; avoir faim est étrange ;
pourtant, dans un plat d' or, sans ridicule on mange ;
et si la cheminée est un bijou charmant
du plus beau marbre, on peut s' y chauffer décemment.
La vie enfin doit presque être un conte de fée.
Je la veux de chansons et de joie étoffée ;



Phébus, si cet orchestre à ma guise marchait,
ne serait pas de trop pour en tenir l' archet.
Morbleu ! Je n' entends pas que l' ennui vous assomme.
Je vous protège, moi. Marquise, un galant homme
prend une femme en gré, sans être un songe-creux,
sans être pour cela forcé d' être amoureux,
et, gaîment, au-dessus des misères, l' enlève.
Les besoins de la vie et les besoins du rêve
se tiennent ; c' est la robe avec le falbala.
J' ai tâché de comprendre à peu près tout cela,
et je prétends, c' est là ma façon d' être tendre,
vous préserver de tout et de tout vous défendre.
Zabeth, regardant gallus fixement.
Désirez-vous savoir la vérité ?
Gallus.
Fort peu.
Zabeth.
Je vous ruine.
Gallus.
Après ?
Zabeth.
Je vous trompe.
Gallus.
Parbleu !
Il découpe une aile de perdrix et l' offre à Zabeth.
Des amants, c' est de droit. Moi, par-dessus la tête
j' en aurais, si j' étais femme, et, comme c' est bête !
ça n' empêcherait pas que je n' aime quelqu' un.
Trompez-moi. Je n' ai pas le goût d' être importun
et jaloux, ni le temps d' être amoureux et fade.
Et ruinez-moi. J' aime avoir une naïade,
une femme, chez moi, qui, d' un air négligent,
penche l' urne d' où coule à grands flots mon argent.



Zabeth.
Monseigneur, vous m' avez de vos bienfaits comblée.
Une pauvre âme fauve aux bois obscurs mêlée,
c' était moi. Je vivais dans des lieux inconnus,
misérable, et j' étais une fille pieds nus ;
on m' avait par pitié fait lire une grammaire ;
comme je n' avais plus mon père ni ma mère,
et que je travaillais beaucoup pour gagner peu,
j' étais parfois sans pain, j' étais souvent sans feu,
et je n' avais pas même un miroir. Un jour, sire,
vous vîntes. Vous m' avez, duc, avec un sourire,
prise en une cabane et mise en un palais.
Tout à coup j' eus des gens, des femmes, des valets,
je vis vers moi monter, avec un bruit de joie,
moi, fille de la bure, un flot d' or et de soie,
un océan d' azur, de perles, de saphirs ;
et j' eus à mon service avril et les zéphirs
et l' aurore, et l' éden, avec tout ce qui tente
et charme, et je devins une femme éclatante.
Aujourd' hui, vous m' avez dorée en me touchant.
Loge à la comédie et carrosse à Longchamp,
j' ai tout, et, comme au fond du ciel noir, dans les boucles
de mes cheveux on voit luire des escarboucles ;
je suis superbe, grâce à vous ; je resplendis,
je brille, je suis riche. --
elle se lève.
Eh bien, je vous maudis !
Gallus.
Tiens, ça vous va très bien d' avoir l' air en colère.
à part.
Que veut dire ceci ?
Zabeth.
L' âme en tombant s' éclaire.
Ah oui, contre la faim, le froid, vous l' avez dit,
contre tout ce qui presse, étreint, froisse, engourdit



les indigents sur qui tourbillonne la neige,
une barrière d' or me couvre et me protège ;
vous m' entourez de soins, duc, n' importe à quel prix,
et vous me préservez de tout. --hors du mépris !
Gallus.
Je vous défends.
Zabeth.
C' est vrai, mais je vous en dispense.
Oui, de ce que l' on dit. Non de ce que l' on pense.
Gallus.
Ce qu' on pense, ah ! Vraiment, ce qu' on pense, en effet,
je ne puis l' empêcher.
Zabeth.
C' est vous qui l' avez fait.
Gallus.
C' est pour rire, pas vrai ? Vous avez des épaules
charmantes.
Zabeth.
La drôlesse insultera les drôles.
Se tournant vers la porte par où tous sont sortis.
Où sont-ils, ces faquins ? Ah ! Vil groupe rieur !
à Gallus.
Savez-vous ce qu' il faut à la femme, monsieur ?
C' est l' amour. Je n' ai pas ce pain sacré de l' âme,
et je me sens haïe et je me vois infâme.
Soyez maudit.
Gallus s' accoude sur la table et la considère avec attention.
Elle poursuit.
Ces ducs, ces princes, ces marquis !
Tous ! Ils sont monstrueux, à force d' être exquis !
Ils me glacent. Ils sont joyeux de quoi ? De haine.
Ils ont la liberté féroce ; j' ai la chaîne.
Ils ont une patrie, eux, c' est l' immense azur,
c' est le ciel. Dans la nue ils marchent d' un pied sûr.



Ils sont comme des dieux. On me mêle à la fête.
J' y vais. J' ai l' air d' en être. Et tout luit sur ce faîte,
tout chante. C' est à qui rira, boira, vivra.
Marquis, que donne-t-on ce soir à l' Opéra ?
Veux-tu souper ? Dansons. Mille louis. Je joue.
Belle, la rose est pâle auprès de votre joue.
Festins. Chasses. On a des lilas en janvier.
On va droit au plaisir sans jamais dévier.
De l' assouvissement on fait sa destinée,
et je suis la proscrite, et je suis la damnée !
Vous savez bien, les loups et les tigres des bois,
je les préfère à vous les hommes.
Gallus, à part.
C' est, je crois,
sérieux.
Zabeth.
Pas d' amour et pas d' espoir ! Je souffre.
J' ai dans le coeur le vide et dans l' âme le gouffre.
Monseigneur ! Monseigneur ! Que vous avais-je fait ?
Ah ! L' auguste et profond soleil me réchauffait,
ah ! J' avais l' innocente aurore pour ivresse !
Ah oui, c' est vrai, d' accord, j' étais une pauvresse,
et parmi les vivants, et sous le grand ciel bleu,
et dans tout l' univers, je n' avais rien, --que Dieu !
Je ne l' ai plus. Abîme ! Oui, j' avais pour ressource
de cueillir une mûre et de boire à la source,
j' étais libre, et j' avais pour ami le rocher.
Quelle idée eûtes-vous de venir me chercher ?
Ce Gunich vous aida, votre digne ministre.
Vous fîtes ce jour-là, prince, un complot sinistre
contre l' inconnu. Mettre un piège dans les cieux !
Saisir une âme au vol pour lui crever les yeux !
Ah ! Ce qu' on tue au ciel, pour l' enfer on le crée.
ô monseigneur, j' étais l' ignorance sacrée.
Qu' avez-vous fait de moi ? L' aveugle, mal conduit,
maudit son guide traître. Hélas ! J' étais la nuit,



et vous avez été la mauvaise lumière.
Vous fûtes l' incendie, et j' étais la chaumière.
Sans doute je penchais vers la faute, mettons
que j' étais coquette, oui, mais j' étais à tâtons,
j' hésitais, un conseil honnête m' eût sauvée.
Ah ! Duc ! Vous m' avez fait une affreuse arrivée
dans la chute par l' âcre et fausse ascension,
et par l' enivrement dans la perdition !
Oui, j' étais l' alouette. Est-ce un crime ? Hélas, être,
moi la pauvre aile folle, et vous le miroir traître,
ce fut notre destin. Moi, vaine et sans effroi ;
vous, sans frein, et frivole ! à quoi bon être roi
si l' on n' a dans le coeur quelque haute chimère ?
Duc, laissant, au-dessus du vil peuple éphémère,
votre esprit souverain flotter dans l' absolu,
vous rêviez un grand rêve, altesse ; il vous a plu
d' essayer de jeter une âme dans ce moule ;
devant les yeux d' un roi l' infini se déroule ;
créer, rien n' est plus beau ; vous avez, duc féal,
voulu réaliser enfin cet idéal,
ce but noble où le coeur d' un grand prince s' applique,
et c' est pourquoi je suis une fille publique.
Un, c' est le paradis, et l' enfer c' est plusieurs.
Qu' est-ce que j' avais fait, ciel juste, à ces messieurs !
J' ignorais ; ils savaient. Un jour, tremblante, nue,
je me suis vue au fond de l' opprobre, ingénue !
Ah ! C' est un crime, c' est un sombre outrage à Dieu,
ah ! C' est l' assassinat d' une âme, et c' est un jeu !
Jusqu' à quel point c' est noir, vous l' ignorez vous-même !
On ne sait pas toujours quel est le grain qu' on sème.
On s' imagine avoir le droit de s' amuser,
et que, puisqu' on nous dore, on peut bien nous briser !
Vous n' êtes pas méchant pourtant, mais vous vous faites
de nos chutes à nous, tristes femmes, des fêtes !
Ah ! La fille du peuple est prise, et le seigneur
l' emporte, éblouissant et louche suborneur,
et les voilà tous deux dans la même nuée.



Folle, et sa chevelure éparse et dénouée,
la malheureuse rit, et lui l' entraîne au fond
d' une ombre où le démon avec Dieu se confond,
et l' on s' enivre, ensemble on s' égare, et l' on erre,
et de ce noir baiser sort un coup de tonnerre !
L' atome, on peut marcher dessus. Non. Je crierai.
Duc, vous êtes le char du triomphe doré,
mais savez-vous de quoi vous êtes responsable ?
C' est de l' écrasement du pauvre grain de sable.
Il cassera ce char dont l' orgueil est l' essieu.
La prostitution, c' est l' hymen malgré Dieu.
Vous n' avez vu dans moi qu' une esclave qui ploie,
une chair misérable, un vil spectre de joie,
acceptant ce veuvage éternel, l' impudeur.
Vous vous êtes trompé, monsieur. J' étais un coeur.
Ah ! Vous le croyez donc, vous avez fait ce songe
d' être ma providence, et moi je dis : mensonge !
Vous m' avez tout donné ? Vous m' avez tout volé !
Vous m' avez pris l' honneur, le nom immaculé,
le droit aux yeux baissés, la paix dans la prière,
et la gaie innocence, et cette extase fière
de pouvoir confronter, quel que soit le destin,
sa conscience avec l' étoile du matin !
Vous m' avez pris la joie et donné l' ironie.
Duc, j' avais le sommeil, je vous dois l' insomnie.
Mon père, ma mère ! Oh ! J' y songe avec remords,
et je sens la rougeur venir au front des morts.
Vos bienfaits, vos bontés, prince, sont des sévices ;
vos dons sont des soufflets. Qu' est-ce que j' ai ? Des vices.
Par ces hideux passants mon coeur sombre est troublé.
Gallus.
Mais...
Zabeth.
Oh ! Sarcler dans l' herbe ! Oh ! Glaner dans le blé !
M' éveiller, m' en aller, sereine et reposée,
l' âme dans la candeur, les pieds dans la rosée,



j' avais cela ! J' avais la sainte pauvreté !
Maintenant je vois croître autour de moi, l' été,
l' hiver, sans fin, sans cesse, un luxe énorme, étrange,
fait de plaisir, de pourpre et d' orgueil, --et de fange !
Je n' ai plus rien, je râle, et tout me manque enfin !
Le mépris, c' est le froid ; l' estime, c' est la faim.
Je dois cette indigence à vos tristes manoeuvres,
monseigneur.
Elle arrache ses parures.
ô colliers et bracelets, couleuvres !
ô diamants hideux et vils ! Joyaux méchants !
Bijoux traîtres !
Elle les foule aux pieds.
Où donc êtes-vous, fleurs des champs ?
Se retournant vers Gallus.
Mais, direz-vous, avoir ce lourd fermier pour maître
m' eût froissée, et j' aurais eu quelque amant ? Peut-être !
J' eusse pu rencontrer, oui, pourquoi le nier ?
Quelque âpre aventurier des bois, un braconnier,
que sais-je ? Un voleur ! Oui, dans l' antre et dans l' ortie,
un homme commençant, prince, une dynastie,
un bandit, le fusil sur l' épaule, un rôdeur
demandant aux monts noirs, pleins d' ombre et de grandeur,
aux bois, où le soleil dans l' or sanglant se couche,
une épouse, et j' aurais pris cette âme farouche,
et j' aurais laissé prendre à cette âme mon coeur !
Il eût été mon chêne et j' eusse été sa fleur.
Et je vivrais ainsi, pauvre avec l' homme sombre,
habitant le hallier, la fuite, le décombre,
aussi hors de la loi que l' aigle et le vautour,
nue, en haillons, sans gîte... --eh bien ! J' aurais l' amour !
Et j' entendrais peut-être en cette vie amère
une petite voix qui me dirait : ma mère !
Et mon voleur aurait de l' estime pour moi.
Il serait tendre et bon, n' étant pas encor roi,
et nous serions tous deux honnêtes l' un pour l' autre.
Tenez, duc, et voyez quelle soif est la nôtre !



Vous êtes prince et vieux, deux choses que je hais,
eh bien, pourtant peut-être, hélas ! Nos vains souhaits
gardent au fond de l' ombre une porte fermée,
je vous aurais aimé si vous m' aviez aimée !
Gallus.
Mais...
Zabeth.
C' est fini. Silence ! Avoir rêvé le ciel,
et s' éveiller avec l' arrière-goût du fiel,
et de tous les affronts sentir qu' on est la cible !
Hélas ! Vous m' avez fait le coeur noir et terrible.
Soyez maudit.
Gallus veut parler. Elle l' arrête du geste.
Silence ! Il me reste, et c' est beau,
contre vous, votre ennui, ma haine--et le tombeau.
Gallus.
Mais que voulez-vous donc ? Dites-le !
Zabeth.
Ne plus vivre.
Elle tire de son sein quelque chose qu' elle approche de ses
lèvres.
Gallus.
Qu' a-t-elle dans la main ? Grand Dieu !
Zabeth.
Ce qui délivre.
Une nuit, vous étiez ivre, usage des grands.
Je vous ai pris ceci.
Elle montre à Gallus une bague.
Gallus.
L' anneau !
Zabeth mord vivement le chaton, et, pâle, tend l' anneau à
Gallus.



Zabeth.
Je vous le rends.
Gallus.
Ciel ! Mais c' est un poison ! La mort terrible et prompte !
Zabeth.
Boire la mort n' est rien quand on a bu la honte.
Elle s' affaisse sur un fauteuil.
Adieu. Je prends mon vol, triste oiseau des forêts.
Personne ne m' aima. Je meurs.
Elle expire.
Gallus, se jetant à ses pieds.
Je t' adorais !

4 mars. --3 avril 1869.





_________________
J'adore les longs silences, je m'entends rêver...  
James
Victor HUGO (1802-1885) La femme , les deux trouvailles de Gallus Acte deuxième La marquise Zabeth scène IV Une_pa12Victor HUGO (1802-1885) La femme , les deux trouvailles de Gallus Acte deuxième La marquise Zabeth scène IV Plumes19Victor HUGO (1802-1885) La femme , les deux trouvailles de Gallus Acte deuxième La marquise Zabeth scène IV Miniat14Victor HUGO (1802-1885) La femme , les deux trouvailles de Gallus Acte deuxième La marquise Zabeth scène IV James_12Victor HUGO (1802-1885) La femme , les deux trouvailles de Gallus Acte deuxième La marquise Zabeth scène IV Confes12

Victor HUGO (1802-1885) La femme , les deux trouvailles de Gallus Acte deuxième La marquise Zabeth scène IV Sceau110
Revenir en haut Aller en bas
https://www.plumedepoesies.org
 
Victor HUGO (1802-1885) La femme , les deux trouvailles de Gallus Acte deuxième La marquise Zabeth scène IV
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Victor HUGO (1802-1885) La femme , les deux trouvailles de Gallus Acte deuxième La marquise Zabeth scène II
» Victor HUGO (1802-1885) La femme , les deux trouvailles de Gallus Acte deuxième La marquise Zabeth scène III
» Victor HUGO (1802-1885) La femme , les deux trouvailles de Gallus Acte deuxième La marquise Zabeth scène première
» Victor HUGO (1802-1885) La femme , les deux trouvailles de Gallus Acte deuxième La marquise Zabeth
» Victor HUGO (1802-1885) La femme , les deux trouvailles de Gallus Acte premier Lison scéné première

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
PLUME DE POÉSIES :: POÈTES & POÉSIES INTERNATIONALES :: POÈMES FRANCAIS-
Sauter vers: