PRIÈRE
Oh ! quand tu reviendras rêver sur la montagne,
Bounaberdi ! regarde un peu dans la campagne
Ma tente qui blanchit dans les sables grondants,
Car je suis libre et pauvre, un Arabe du Caire,
Et quand j'ai dit : Allah ! mon bon cheval de guerre
Vole, et sous sa paupière a deux charbons ardents !