Toi qui derrière moi vantes la guillotine,
Toi qui baves et qui, dans ta rage crétine,
Dénonces le penseur comme on dénonce un roi,
Hurle et grince des dents, je n'ai pas peur de toi,
Ni de l'ongle allongé,.ni de l'oeil qui menace,
Ni de ton faux système imbécile et tenace
Qui contre le bon sens entre en rébellion,
Car je te sens chacal et je me sens lion.