Le "Zola des tranchées", la gloire littéraire du parti communiste à partir de son adhésion en 1923 [1] - et avant Louis Aragon - consacre les années qui suivent la guerre, jusqu’à sa mort en 1935 (frappé par une pneumonie lors d’un voyage à Moscou), au militantisme et à la défense de la paix. Il accumule les créations de mouvements, de revues, de congrès internationaux contre le fascisme : le mouvement et la revue Clarté en 1919 (avec le soutien d’Anatole France, Duhamel, Dorgelès, Romains, Carco, Rolland, Paul Fort, Blum, etc.) [2], l’hebdomadaire Monde en 1928, l’Association des Ecrivains et Artistes Révolutionnaires (AEAR) en 1932 (avec Aragon, Malraux, Vaillant-Couturier, Nizan…), le Congrès d’Amsterdam la même année (qui fusionne en 1933 avec le Congrès de Pleyel pour constituer le Comité mondial contre la guerre et le fascisme, dit "Amsterdam-Pleyel", présidé par Barbusse)…
Dans les années trente, son adresse parisienne est le 105 rue de Courcelles.