La Vie (incomplet)
7 septembre 1906
Enfant, l'Homme va sur la terre
Insouciant du lendemain
Incertain au bras de sa mère
Il avance sur le chemin
On le chérit on lui fait fête
La Raison sommeille en son coeur
Le Destin retient la tempête
Que déchaînera sa douleur
Il grandit la route est franchie
Ses jeunes ans sont éloignés
. . . . . . . . . . . . . .
Manquent 10 Strophes
C'est là que des parfums perdus
La source s'écoule profonde
Et que les beaux jours disparus
Expliquent le règne du monde
Mais il est des coeurs de vingt ans
Aux espérances déjà vieilles
Qui savent pleurer leurs printemps
Dans le calme profond des vieilles
Souvent l'aurore des beaux jours
Assombrit leur belle jeunesse
Ils pleurent de chères amours
Comme le ferait la vieillesse
Dans leur coeur c'est déjà l'hiver
Leur âme est couverte de neige
Leur tristesse n'est que d'hier
Et leur existence s'abrège
Ils cherchent un regard ami
Bienfait des heures expirées
Ils croient le passé endormi
Quand ses douleurs sont éveillées
Manque la fin