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 Jules Barbey d'Aurevilly

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MessageSujet: Jules Barbey d'Aurevilly   Jules Barbey d'Aurevilly - Page 3 Icon_minitimeMar 16 Aoû - 18:31

Rappel du premier message :

Jules Barbey d’Aurevilly (Saint-Sauveur-le-Vicomte, en Normandie, 2 novembre 1808 - Paris, 23 avril 1889) est un écrivain français. Surnommé le « Connétable des lettres », il a contribué à animer la vie littéraire française de la seconde moitié du xixe siècle. Il a été à la fois romancier, nouvelliste, poète, critique littéraire, journaliste et polémiste.
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MessageSujet: Re: Jules Barbey d'Aurevilly   Jules Barbey d'Aurevilly - Page 3 Icon_minitimeMar 16 Aoû - 18:37

Sur le plan moral, Maistre fait preuve d'une extrême rigueur dogmatique qui le conduit à légitimer l'Inquisition et à défendre le rôle social du bourreau. Ce goût de la posture provocante et polémique se retrouve chez Barbey. Maistre combat également l'idée, selon lui néfaste à toute critique, de distinguer la personne des opinions qu'elle formule dans ses écrits61. Barbey sera fidèle à ce principe dans ses critiques littéraires62.
La métaphysique de Maistre accorde une large place au mal, dont l'origine est la Chute de l'homme. Le dogme de la réversibilité, souffrance volontaire des hommes offerte à Dieu pour appeler la miséricorde et la rédemption de leurs frères, est considéré par Maistre comme l'une des vérités les plus importantes de l'ordre spirituel. Maistre affirme la possibilité pour tout innocent d'acquitter par sa souffrance le crime des coupables : toute vie étant coupable par nature, tout être vivant étant souillé par la Chute, il lui est possible de répondre à la place d'un autre, et même d'un crime qu'il n'a pas commis63. Cette idée de réversibilité se retrouve dans Un prêtre marié. La nouvelle Le bonheur dans le crime illustre une autre idée maistrienne64.
Les deux écrivains partagent certaines valeurs esthétiques, opposées à la modernité littéraire : Barbey d'Aurevilly comme Joseph de Maistre affirment la supériorité des classiques et de la tradition littéraire française du xviie siècle sur les écrivains de leur temps. Tous deux ils citent la Bible et les Pères de l'Eglise65. Barbey critique subordonne comme de Maistre la création au vrai et au bien, idéal de Beauté classique. Enfin le style net et énergique, parsemé d'ironie de l'écrivain savoyard, plaît à Barbey dont le style partage les mêmes caractéristiques.
Les contemporains avaient remarqué l'influence de Maistre sur Barbey. Pontmartin ironisera sur le paradoxe de cette parenté littéraire entre les deux hommes qui conduit Barbey à « penser comme M. de Maistre et à écrire comme le marquis de Sade ».
Barbey sera aussi influencé par la pensée d'un disciple de Joseph de Maistre, le philosophe Antoine Blanc de Saint-Bonnet, auquel il va consacrer un chapitre des Prophètes du passé et plusieurs articles élogieux. C'est Barbey qui fera connaître ce métaphysicien à Léon Bloy.
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MessageSujet: Re: Jules Barbey d'Aurevilly   Jules Barbey d'Aurevilly - Page 3 Icon_minitimeMar 16 Aoû - 18:37

Honoré de Balzac

C'est vers 1849 que Barbey d'Aurevilly découvre La Comédie humaine. Immédiatement, il déclare admirer leur auteur « comme les Alpes » . Il se charge de l'édition de ses Pensées et maximes, recueil d'aphorismes sélectionnés dans son œuvre et publié en 1854. Il prend sa défense en 1857 dans Le Pays, en réponse à une attaque de La Revue des Deux Mondes. Le 1er février sa veuve lui envoie une lettre de remerciement et le médaillon de son mari par David d'Angers.
Des œuvres comme La vieille fille ou Le réquisitionnaire vont l'aider à trouver sa voie67. La lecture de Balzac lui enseigne tout ce que sa propre expérience renferme de thèmes romanesques, notamment la peinture de la vie provinciale, l'atmosphère des petites villes et leurs drames secrets68. Barbey a hérité de Balzac son esthétique de la nouvelle - ce qu'il nomme « le dessous de cartes » ou « le fantastique de la réalité » : vectorisation implacable vers un évènement (la nouvelle est comme « un roman en raccourci »), jeu du dehors et du dedans, plongée dans les mystères et faux-semblants de la conscience, révélation de la face cachée des faits et des individus - autant de procédés que l'on retrouve dans Les Diaboliques. L'oralité est très présente dans les œuvres des deux auteurs. Elle permet des effets de réverbération, de carambolage, et démultiplient les perspectives70. Les Diaboliques s'appelaient primitivement Ricochets de conversation, en référence à Une conversation entre onze heures et minuit.
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MessageSujet: Re: Jules Barbey d'Aurevilly   Jules Barbey d'Aurevilly - Page 3 Icon_minitimeMar 16 Aoû - 18:38

Le roman aurevillien

Un écrivain régionaliste normand

Dès Une vieille maîtresse, les récits de Barbey se déroulent systématiquement dans sa Normandie natale71. Cela fait-il de Barbey d'Aurevilly un écrivain normand, et de ses romans des « romans de terroir » ?
La Normandie, ses paysages, ses coutumes, son histoire tiennent une grande place dans ses romans. Les poissonniers dans Une vieille maîtresse y parlent « comme des poissonniers véritables »72, c'est-à-dire en patois normand. Dans L'Ensorcelée, son roman suivant, et malgré les objections de ses amis Trébutien et Baudelaire, l'emploi du patois est plus accentué encore : on n'y parle pas « normand du bout des lèvres ». Cette langue devient un élément essentiel de son esthétique : les langues sont « le clavier des Artistes », « le moule-à-balles du Génie dans lequel il coule l'or ». La poésie pour lui « n'existe qu'au fond de la réalité et la réalité parle patois ».
Barbey demeure fidèle à son pays. L'évocation des paysages de cette région donnent de la profondeur à ses romans. La lande de Lessay dans L'Ensorcelée, l'étang du Quesnoy dans Un prêtre marié, Valognes sont au centre du récit, et ces romans ne pourraient pas se situer ailleurs73. Ces paysages ne sont pas des cadres choisis et adaptés en fonction d'une histoire, ils proviennent des souvenirs de l'écrivain, et ne sont pas toujours fidèles à la réalité.
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MessageSujet: Re: Jules Barbey d'Aurevilly   Jules Barbey d'Aurevilly - Page 3 Icon_minitimeMar 16 Aoû - 18:38

La Normandie et la vie provinciale, fortement associées à ses impressions de l'enfance, est un atout majeur de son talent : « Le premier Milieu dans lequel ont trempé les poètes, voilà l'éducation ineffaçable, la véritable origine de leur genre de talent, ce qui damasquine et fourbit leur acier, ce qui en décide le fil et les reflets. »74. Dès qu'il y revient, qu'il fait cette découverte aux alentours de 1850, il devient grand romancier et écrit successivement la fin d' Une vieille maîtresse, Le dessous de cartes d'une partie de whist et L'Ensorcelée.
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MessageSujet: Re: Jules Barbey d'Aurevilly   Jules Barbey d'Aurevilly - Page 3 Icon_minitimeMar 16 Aoû - 18:38

Un romancier catholique

Barbey d'Aurevilly développe lui-même sa théorie du roman catholique en 1866 dans la préface d'Une vieille maîtresse alors rééditée, œuvre pour laquelle son catholicisme est mis en cause. Barbey se défend en rappelant que « le catholicisme n'a rien de prude, de bégueule, de pédant, d'inquiet », que le catholicisme est « la science du Bien et du Mal », et que son but a été de montrer « non seulement les ivresses de la passion, mais ses esclavages ».
Barbey estime avoir peint la passion « telle qu'elle est et telle qu'il l'a vue », mais qu'en la peignant, il l'a « à toute page de son livre condamnée ». Il n'a fait que l'exprimer. Un catholique peut-il toucher au roman et à la passion ? Barbey estime que l'art est permis par le catholicisme, il est même encouragé et protégé par lui. Le catholicisme absout le procédé de l'art qui consiste à « ne rien diminuer du péché ou du crime qu'on avait pour but d'exprimer. » Quand on lui reproche l'immoralité de son livre, Barbey oppose que la moralité de l'artiste est « dans la force et la vérité de sa peinture » : en étant vrai, l'artiste est suffisamment moral.
Sa théorie du roman catholique se retrouve dans ses romans où le personnage du prêtre est omniprésent : l'abbé Jéhoël de La Croix-Jugan (L'Ensorcelée), Jean Sombreval (Un prêtre marié), le père Riculf (Une histoire sans nom). Les Diaboliques, où s'épanouissent à chaque page le Mal, les passions et le sadisme, sont l'illustration parfaite de ces idées.
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MessageSujet: Re: Jules Barbey d'Aurevilly   Jules Barbey d'Aurevilly - Page 3 Icon_minitimeMar 16 Aoû - 18:39

L'œuvre critique


Avec les vingt volumes des Œuvres et les hommes, Barbey d'Aurevilly a voulu dresser l'inventaire intellectuel du xixe siècle. Sa critique littéraire est une grande chasse à la sottise75. Injustes souvent, mais toujours logiques et en concordance avec ses principes, ses jugements sont légitimés par le talent et par le courage
.
Ses victimes portent des noms illustres : Victor Hugo, George Sand, Madame de Staël, Jules Michelet, Mérimée, Ernest Renan, Théophile Gautier, Flaubert, les Goncourt, Émile Zola. Les Parnassiens, les bas-bleus, l'école naturaliste ont fait les frais de sa plume. Il est également l'auteur de plusieurs pamphlets contre Buloz, l'Académie française, et Sainte-Beuve - à travers Goethe et Diderot77. Les rééditions d'auteurs classiques lui donnent l'occasion de stigmatiser la philosophie des Lumières, responsable du positivisme, du matérialisme et de l'idéologie dominante du progrès, qui heurtent son catholicisme et son idéal.
Mais il voit juste lorsqu'il défend Les Fleurs du mal (Baudelaire), Madame Bovary (Flaubert), les œuvres de Balzac et celles de Stendhal, Emaux et camées (Gautier), A rebours (Huysmans).
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MessageSujet: Re: Jules Barbey d'Aurevilly   Jules Barbey d'Aurevilly - Page 3 Icon_minitimeMar 16 Aoû - 18:39

Le théoricien du dandysme


Sous le pseudonyme de Maximilienne de Syrène, Barbey signe en 1843 des « impertinences raffinées » dans le Moniteur de la Mode, ainsi qu'un article intitulé De l'élégance78. S'appuyant sur une biographie de George Brummell qui vient de paraître à Londres79, il en extrait quelques anecdotes et le prend pour prétexte afin d'écrire le récit de son propre dandysme78. Du dandysme et de George Brummell paraît en 1845. Il est réédité et augmenté en 1861, puis en 1879, enrichi d'un texte consacré à Lauzun et intitulé Un dandy d'avant les dandys.
Il y développe et analyse les principes du dandysme, plus intellectuels que vestimentaires, le dandy n'étant pas « un habit qui marche tout seul ». Le dandysme est une manière d'être tout en nuances, qui résulte d'un « état de lutte sans fin entre la convenance et l'ennui ». Le dandy est le « souverain futile d'un monde futile » et se caractérise par l'absence d'émotion, l'horreur de la nature, l'audace et l'impertinence, la passion du luxe, l'artificialité, et le besoin d'individualité.
Cet essai est l'un des trois principaux sur la question, avec le Traité de la vie élégante de Balzac et Le Peintre de la vie moderne de Baudelaire.
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MessageSujet: Re: Jules Barbey d'Aurevilly   Jules Barbey d'Aurevilly - Page 3 Icon_minitimeMar 16 Aoû - 18:40

Barbey d'Aurevilly et la postérité

Réception de ses contemporains

Barbey d'Aurevilly a fait l'objet de critiques contrastées. Presque tous s'accordent à trouver dans son art originalité et noblesse. Sainte-Beuve le juge « homme d'un talent brillant et fier, d'une intelligence haute et qui va au grand », « une plume de laquelle on peut dire sans flatterie qu'elle ressemble souvent à une épée »
. Lamartine, lorsqu'il le rencontre, après l'avoir lu, déclare qu'il est le « Duc de Guise des belles-lettres françaises »82. Pour Baudelaire, c'est un « vrai catholique, évoquant la passion pour la vaincre, chantant, pleurant et criant au milieu de l'orage, planté comme Ajax sur un rocher de désolation »
. Paul de Saint-Victor : « le polémiste intraitable est en même temps un écrivain de l'originalité la plus fière »
. Jules Vallès lui trouve « un talent bizarre, tourmenté et fier »
. Maupassant trouve dans ses œuvres quelques merveilles
. Edmond de Goncourt émet des réserves, mais l'inscrit dans ses premières listes de l'Académie en projet.
Ceux qu'il a éreintés par ses articles lui rendent en général la politesse. Victor Hugo le pastiche en le surnommant « Barbey d'or vieilli ». La légende veut qu'il ait composé un vers inédit en « l'honneur » du critique : « Barbey d'Aurevilly, formidable imbécile ! »87. Flaubert dans sa correspondance en parle franchement comme de son ennemi. Il juge Les Diaboliques « à se tordre de rire » et trouve qu'« on ne va pas plus loin dans le grotesque involontaire »
. Zola le rejoint et trouve qu'il a « deux ou trois siècles de retard ». Il condamne son attitude au moment des poursuites contre Les Diaboliques, lorsque Barbey accepte de retirer son œuvre de la vente
.
Sa personnalité inspire au moins par deux fois les romanciers : le personnage de Franchemont, apparaissant dans Charles Demailly des frères Goncourt, un roman sur les hommes de lettres
, en est inspiré. Le Connétable des lettres sert également de modèle à Monsieur de Bougrelon, roman de Jean Lorrain
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MessageSujet: Re: Jules Barbey d'Aurevilly   Jules Barbey d'Aurevilly - Page 3 Icon_minitimeMar 16 Aoû - 18:41

La génération symboliste et décadente

Paul Verlaine déplore les systèmes mais ne peut s'empêcher de lui reconnaître « un style de race » et une « manière originale ». Il admire la « profusion des images souvent réussies et toujours poétiques, des hardiesses parfois heureuses, et jamais vulgaires »
. Jean Lorrain le trouve « admirablement taillé »
pour la génération littéraire fin de siècle. Pour Huysmans, il fut « le seul artiste, au sens pur du mot, que produisit le catholicisme de ce temps », ainsi qu'un « grand prosateur » et un « romancier admirable »
. Dans A rebours, il fait figurer ses œuvres parmi les préférées de la bibliothèque élitiste de Des Esseintes. Pour Rémy de Gourmont, Barbey d'Aurevilly est « l'une des figures les plus originales de la littérature du dix-neuvième siècle », qui « excitera longtemps la curiosité » et « restera longtemps un de ces classiques singuliers et comme souterrains qui sont la véritable vie de la littérature française »
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MessageSujet: Re: Jules Barbey d'Aurevilly   Jules Barbey d'Aurevilly - Page 3 Icon_minitimeMar 16 Aoû - 18:41

Jugements posthumes

Julien Green lit Les Diaboliques avec « une admiration étonnée »
. Paul Morand préface en 1967 Une vieille maîtresse. Marcel Proust dans La Prisonnière rend hommage à l'œuvre romanesque de l'écrivain normand : la preuve du génie n'est pas dans le contenu de l'œuvre mais dans la qualité inconnue d'un monde unique révélé par l'artiste. Chez Barbey, cette qualité se manifeste par « une réalité cachée révélée par une trace matérielle » : la rougeur d'Aimée de Spens (Le Chevalier Des Touches), les us et coutumes de sa région, l'histoire orale, les nobles cités normandes, les malédictions etc. Autant de détails qui marquent l'identité et l'unité d'un artiste.
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MessageSujet: Re: Jules Barbey d'Aurevilly   Jules Barbey d'Aurevilly - Page 3 Icon_minitimeMar 16 Aoû - 18:41

Editions et adaptations

Ses œuvres romanesques ont fait l'objet d'une édition complète en deux volumes dans la prestigieuse collection de la Pléiade. Son œuvre critique est rééditée aux Belles Lettres, tandis que les Archives Karéline s'est chargée récemment de l'œuvre poétique.
Ses nouvelles et romans ont fait l'objet d'une douzaine d'adaptations à l'écran
. La plus récente, Une vieille maîtresse, présentée à Cannes en 2007, est l'œuvre de Catherine Breillat.
Jacques Debout a adapté au théâtre, sous le titre de Sombreval, le roman Un prêtre marié, créé à Paris le 5 février 1932. Le bonheur dans le crime, l'une des six Diaboliques, a inspiré en 2003 une bande dessinée, Hauteclaire, du nom de son héroïne.
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