Dans les cités que troublent
Tant de chars se heurtant, et tant de noirs débats, .
Où rampent, pleins d'orgueil, tous les sentiiriénts bas,
Où tdut est fiel, dédain, querelle, envie infâme,
J'étouffe, et, tu le sais, à chaque instant, mon âme
Qui languit sans amour comme un cygne sans eau,
Ouvre son aile et veut s'enfuir comme l'oiseau.
Comment n'aurais-je pas jusqu'au fond de moi-même
Ces aspirations vers votre paix suprême,
* Aujourd'hui, je suis altéré de calme et de tombeau.