III
Hélas! Le ciel m’a leurré,
Qui m’a mis, pauvre lettré,
Dans ce dur pays des gaules
Par l’action dévoré!
Mon dos fléchit; mes épaules
Ne sauraient porter les pôles;
À tout géant plus carré
Je laisse remplir ces rôles,
Moi dont le but avéré
Serait de vivre, à mon gré,
Parmi l’herbe, au pied des saules,
En buvant du vin sucré!