LII
Comme ce vieux vizir qui gardait sa sultane,
La lame de son sabre entre, une femme et lui!
Heureux l'autel impur qui n'a pas de profane!
Heureux l'homme indolent pour qui tout est fini
Quand le plaisir s'émousse, et que la courtisane
N'a jamais vu pleurer après qu'il avait ri!