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| Poèmes de Victor Hugo 3 | |
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| Sujet: Poèmes de Victor Hugo 3 Lun 5 Sep - 0:38 | |
| Sommaire des poèmes françaisPoèmes des poètes commencants par HAccès a l'histoire de Victor HugoPoèmes de Victor Hugo 1 Poèmes de Victor Hugo 2Poèmes de Victor Hugo 4PoésiesElégie Le télégraphe L'enrôleur politique L'avarice et l'envie Epitre a Brutus Cacus Achéménide L'antre des cyclopes César passe le rubiconImitation d'Owen A lysie Ce que j'aime vers faits à un désert Le vieillard du galèse Discours sur les avantages Le 4 novembre 1820Le cheval I Ordre du jour de Floréal YYXH Le poète bat aux champs Réalité En sortant du collège Paupertas Ô Hyménée ! Hilaritas Meudon Bas à l'oreille du lecteur Senior est junior Jeanne seule Duel en juin À Jeanne Les étoiles filantes Pour d'autres Jour de fête Lisbeth Chelles Dizain de femmes Choses écrites à Créteil Le lendemain Post-scriptum des rêves Le chêne du parc détruit Écrit en 1827 Fuite en Sologne Gare ! À Doña Rosita Rosa À Rosita C'est parce qu'elle se taisait À la belle impérieuse Sommation irrespectueuse Fêtes de village en plein air Confiance Le nid À propos de doña Rosa Rosa fâchée Les trop heureux À un visiteur parisien Dénonciation de l'esprit des bois Réponse à l'esprit des bois Lettre L'oubli De la femme au ciel Saison des semailles. Le soir oiseaux et enfants Une alcôve au soleil levant Comédie dans les feuilles Liberté Egalité Fraternité Le vrai dans le vin Célébration du 14 Juillet Souvenir des vieilles guerres L'ascension humaine Le grand siècle Égalité La méridienne du lion Nivôse Pendant une maladie À un ami La sainte chapelle Amour de l'eau Le poète est un richeNotre ancienne dispute Ce jour-là, trouvaille de l'église L'hiver Au cheval Le poète dans les révolutions La Vendée Les vierges de Verdum Quiberon Louis XII Capet, éveille-toi ! Le rétablissement de la statue de Henri IV La mort du Duc de Berry La naissance du Duc de Bordeaux Le baptême du Duc de Bordeaux A la Muse Vision Buonaparte A mes Odes L'histoire La bande noireA mon père Le repas libre La liberté La guerre d'Espagne A l'arc de triomphe de l'étoile La mort de mademoiselle de Sombreuil Le dernier chant A M Alphonse de L A M de Chateaubriand Aux funérailles de Louis XVIII Le sacre de Charles X Au colonel G A Gustaffon Les deux Iles A la colonne de la place Vendôme Fin Le poète La lyre et la harpe Moise sur le Nil Le dévouement A l'académie des jeux floraux Le génie La fille d'O Taîti L'homme heureux L'âme Le chant de l'arène Le chant du cirque Le chant du cirque Le chant du tournoi L'Antéchrist Epitaphe Un chante de fête de Néron La demoiselle A mon ami S-B Jéhovah Premier soupir Regret Au vallon de Cherizy A toi La chauve souris Le nuage Le cauchemar Le matin Mon enfance À G......Y Hoc erat in votis ! Horace. Encore à toi Don nom Actions de grâces A mes amis A l'ombre d'un enfantA une jeune fille Aux ruines de Monfort-L'amaury Le voyage Promenade A Ramon, Duc de Benav Le portrait d'une enfant A madame la contesse A.H Pluie d'été Rêves Une fée Le sylphe La grand-mère A Trilby, le lutin d'Argail Le géant La fiancée du timbalier La mêlée Les deux archers L'aveu du chatelain A un passant La chasse du Burgrave Le pas d'armes au roi Jean La légende de la nonne La ronde du Sabbat La fée et la péri Devise des Saint-JohnÀ M. Louis B. Rêverie d'un passant a propos d'un roi Calderon Ce qu'on entend sur la montagne A un voyageur Dicté en présence du glacier du Rhône A M Davis , statuaire A M de Lamartine Aestat infelix Dédain A Monsieur Fontenay Oh primavera ! gioventù dell'anno ! Sinite parvulos venire ad me. JÉSUS. Sed satis est jam posse mori. LUCAIN Flebile nescio quid. OVIDE. Sed satis est jam posse mori. LUCAIN Le toit s'égaie et rit. ANDRÉ CHÉNIER. Beau, frais, souriant d'aise à cette vie amère. Sainte-Beuve. A une femme Quien no ama, no vive. Mens blanda in corpore blando. À mes amis L. B. ET S.-B. À mes amis L. B. ET S.-B. Buen viage ! GOYA. La pente de la rêverie Souvenir d'enfance A madame Marie M Pour les pauvres A ***, Trappiste aà la Meilleraye Bièvre Soleils couchants La prière pour tous Fonction du poète Le sept aout mil huit cent vingt-neuf Au roi Louis Philippe Regard jeté dans une mansarde Le poète à lui-même Sur un homme populaire Le monde et le siècleÀ M. LE D. DE *** A mademoiselle fanny de P Fiat voluntas A Laure, Duch. D.A Dans le cimetière de ... Spectacle rassurant Ecrit sur la vitre d'une fenêtre flamande Ce qui se passait aux feuillantines vers 1813 Au statuaire David A un poète Guitare Autre guitare En passant dans la place Louis XV Mille chemins, un seul but A une jeune famme A Louis B Rencontre L'ombre Tristesse d'Olympio Que la musique date du seizième siècle La statue Ecrit sur le tombeau d'un petit enfant au bord de la mer A.L Caeruleum Mare Oceano nox Nuits de juin Sagesse Les contemplations A ma fille Mes deux filles A André Chénier La vie aux champs Réponse à un acte d'accusation Réponse à un acte d'accusation suite Le poëme éploré se lamente; le drame A madame D G de G Lise Vere novo A propos d'Horace A Grandville, en 1836 La coccinelle Vers 1820 A M Froment Meurice Les oiseaux Vieille chanson du jeune temps A un poète aveugle Elle était déchaussée La fête chez Thérése L'enfance Heureux l'homme, occupé de l'éternel destin, Unité Quelques mots à un autre Oui, je suis le rêveur; je suis le camarade Il faut que le poëte, épris d'ombre et d'azur, Halte en marchant Premier Mes vers fuiraient, doux et frêles, Le rouet d'omphale Chanson Hier au soir Lettre Nous allions au verger cueillir des bigarreaux. Tu peux, comme il te plaît, me faire jeune ou vieux. En écoutant les oiseaux Mon bras pressait la taille frêle Eglogue Viens! une flûte invisible Billet du matin Paroles dans l'ombre L'hirondelle au printemps cherche les vieilles tours, Sous les arbres Je sais bien qu'il est d'usage N'envions rien Il fait froid Il lui disait: -Vois-tu, si tous deux nous pouvions, Aimons toujours! aimons encore! Après l'hiver Que le sort, quel qu'il soit, vous trouve toujours grande! Je respire où tu palpites, Crépuscule La nichée sous le portail Un soir que je regardais le ciel Ecrit sur un exemplaire de la divina comediaMelancholiaSaturne Ecrit au bas d'un crucifix Quia pulvis es La source La statueJe lisais. Que lisais-je? Oh! le vieux livre austère, Jeune fille, la grâce emplit tes dix-sept ans. Amour ? Explication La chouette A la mère de l'enfant mort Epithaphe Le maitre d'études Chose vue un jour de printemps Intérieur Baraques de la foire InsomnieEcrit sur la plinthe d'un bas relief antique à ma demoiselles Louise B La clarté du dehors ne distrait pas mon âme. Le revenant Aux arbres L'enfant, voyant l'aïeule à filer occupée, Joies du soir J'aime l'araignée et j'aime l'ortie, Le poète La nature Magnitudo parvi Enfant! l'autre de ces deux mondes Et je repris, montrant à l'enfant adoré Pure Innocence! Vertu sainte! 15 Février 1843 Trois ans après Oh! je fus comme fou dans le premier moment Elle avait pris ce pli dans son âge enfantin. Quand nous habitions tous ensemble. Elle était pâle, et pourtant rose, A qui donc sommes-nous? Qui nous a? qui nous mène? O souvenirs! printemps! aurore! Pendant que le marin, qui calcule et qui dout On vit, on parle, on a le ciel et les nuages A quoi songeaint les deux cavaliers dans la forêt VENI, VIDI, VIXI Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, A Villequier Mors Charles Vacquerie A AUG. V. Au fils d'un poète Ecrit en 1846 Marquis, je m'en souviens, vous veniez chez ma mère. Puis vous m'avez perdu de vue; un vent qui souffle Car le roi masque Dieu même dans son église, L'azur. Écoutez-moi. J'ai vécu; j'ai songé. Ce sont les rois qui font les gouffres; mais la main Rien, au fond de mon coeur, puisqu'il faut le redire, J'ajoute un post-scriptum après neuf ans. J'écoute: La source tombait du rocher A mademoiselle Louise B A vous qui êtes la Pour l'erreur, éclairer, c'est apostasier. A JULES J.* Le mendiant Aux feuillantines Ponto Dolorosae Paroles sur la dune Claire P A ALEXANDRE D. Lueur au couchant Mugitusque boum Apparition Au poète qui m'envoie une plume d'aigle Tout homme qui vieillit est ce roc solitaire Vénus! que parles-tu de Vénus? elle est là. A Paul M auteur du drame Paris Je payai le pêcheur qui passa son chemin, Le vallon où je vais tous les jours et charmant; J'ai cueilli cette fleur pour toi sur la colline. O strophe du poëte, autrefois, dans les fleurs, Les malheureux Le pont Ibo Un spectre m'attendait Écoutez. Je suis Jean |
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