A PAUL MUSURUS
QUI A BIEN TORT DE NE PAS PUBLIER SES SONNETS
I
Je ne dis plus, comme au collège,
Quando te aspiciam, o rus?
Mais quand donc, imprimés, verrai-je
Les beaux vers de Paul Musurus!
II
Excellent ami que vous êtes,
Sonneur de purs et beaux sonnets,
En bons coeurs comme en bons poètes
Sachez bien que je me connais.
Mai 1902.