EXTRAIT DES REGISTRES.
Voilà la lettre qui a été envoyée, et voici celle que soeur Suzanne
aurait dû écrire:
Monsieur, je vous remercie de vos bontés; il ne faut plus penser à rien,
tout va finir pour moi. Je serai dans un moment devant le Dieu de la
miséricorde; c'est là que je me souviendrai de vous. Ils délibèrent
s'ils me saigneront une troisième fois; ils ordonneront tout ce qu'il
leur plaira. Adieu, mon cher monsieur. J'espère que le séjour où je vais
sera plus heureux; nous nous y verrons.