PLUME DE POÉSIES
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 Denis Diderot. (1713-1784) NOTICE PRÉLIMINAIRE.

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MessageSujet: Denis Diderot. (1713-1784) NOTICE PRÉLIMINAIRE.   Denis Diderot. (1713-1784) NOTICE PRÉLIMINAIRE. Icon_minitimeLun 3 Sep - 10:33

NOTICE PRÉLIMINAIRE.
Voici un livre qui a été bien discuté, et qui, nous le comprenons de
reste, n'a pas le droit d'être publié autrement que dans une collection
d'oeuvres complètes, où il est comme noyé et trouve immédiatement
son correctif. C'est une incartade de jeune homme, la suite d'un pari,
le désir de démontrer à une maîtresse exigeante(1) qu'il n'y avait rien
de plus facile que de faire du Crébillon fils, mais qu'on pouvait, même
en suivant ce modèle dangereux, mettre autre chose, dans un roman léger,
que des allusions et des scènes libres. Diderot a gagné son pari, et le
jugement qu'il faut porter des Bijoux indiscrets, est celui qu'en
porte M. Mézières, de l'Académie française, derrière l'opinion duquel
nous aimons à nous abriter.

(1: Voir les Mémoires de Mme de Vandeul, t. I, p. XLII.)

En parlant(2) des réformes introduites par Lessing dans le théâtre
allemand, M. Mézières dit, en effet: «De cette condamnation portée
contre la France, il fallait cependant excepter un homme, un penseur
original qui, avant Lessing, avait jugé, avec une complète indépendance,
la scène de son pays, et que Lessing lui-même reconnaissait comme son
prédécesseur et son maître en critique: j'ai nommé Diderot, dont les
Allemands de nos jours ne contestent pas absolument l'influence sur
l'auteur de la Dramaturgie, mais qu'ils laissent volontiers dans
l'ombre sans lui attribuer toute la part d'initiative qui lui
revient(3). Ce qui est vrai, et ce que la critique allemande a le tort
de ne pas dire hautement, c'est que Lessing, de son propre aveu,
emprunta à Diderot une partie de ses arguments contre le théâtre
français, et que, sans l'exemple de Diderot, il n'aurait été ni si
hardi, ni si pénétrant, dans sa critique dramatique. Lui-même le
reconnaît avec une bonne foi dont ses biographes devraient s'inspirer
pour rendre à chacun ce qui lui est dû. Lessing n'était encore qu'un
étudiant obscur de l'Université de Leipzig, lorsque, dans un roman
frivole où s'agitaient des questions graves, Diderot critiquait
sévèrement la tragédie française. Ce passage des Bijoux indiscrets
frappa tellement Lessing, que, vingt ans plus tard, il le traduisait
tout entier dans la Dramaturgie, et l'acceptait ainsi comme point de
départ de ses attaques passionnées contre le système dramatique de la
France.»

(2: Introduction à la Dramaturgie, de Lessing, traduite par
MM. Ed. de Suckau et Crouslé. Didier, 1873, in-18.)

(3: Nous reparlerons de cette question en nous occupant du
Théâtre de Diderot.)

Des questions graves! Le mot doit faire réfléchir ceux qui se
trouveraient trop pressés de condamner ce livre. Des questions graves,
mais quelles? D'abord, celle de la réforme du théâtre que Diderot allait
tenter bientôt sur la scène même de la Comédie française; ensuite celle
des idées philosophiques dont il allait donner, peu d'années après, une
formule plus sévère dans l'Interprétation de la nature; enfin la
critique des moeurs de l'époque, critique qui n'était pas sans portée,
précisément parce qu'elle était moins fine et moins complaisante que
celle du modèle que l'auteur avait choisi, Crébillon fils.

Mais le lecteur verra tout cela, et, sans doute, il jugera qu'il faut
pardonner un peu à Diderot la façon dont il s'y est pris pour faire
parvenir à des courtisans, à des femmes, à des jeunes gens, des idées
dont ils n'auraient jamais eu connaissance s'il les eût consignées dans
un livre à l'usage des seuls philosophes. En se reportant à la licence
du temps où il écrivait, on verra qu'il ne l'a point dépassée, si ce
n'est en latin, et l'on sait quel est le privilége du latin. Ce
privilége doit être encore plus facilement accordé à cette langue,
aujourd'hui qu'on ne la sait plus.

Les Bijoux sont une oeuvre où la jeunesse qui s'en va (Diderot avait
trente-cinq ans) lutte encore avec la maturité qui arrive. Lorsque
Diderot fut à l'entrée de la vieillesse, lorsqu'il pensa à réunir, chose
qu'il ne fit jamais, les pages qu'il avait semées avec tant
d'insouciance pendant sa vie, il jugea lui-même sévèrement cet écart. Il
disait à Naigeon, qui le rapporte dans ses Mémoires: «Ce ne sont pas
les mauvais livres qui font les mauvaises moeurs d'un peuple, mais ce
sont les mauvaises moeurs d'un peuple qui font les mauvais livres; ce
sont comme les exhalaisons pestilentielles d'un cloaque.» «Quoique le
mien, ajoutait-il, fût une grande sottise, je suis très-surpris de n'en
avoir pas, à cette époque, fait de plus grande.» Il n'entendait,
continue Naigeon, parler de ce livre, même en bien, qu'avec chagrin et
avec cet air embarrassé que donne le souvenir d'une faute qu'on se
reproche tacitement. Il m'a souvent assuré que, s'il était possible de
réparer cette faute par la perte d'un doigt, il ne balancerait pas d'en
faire le sacrifice à l'entière suppression de ce délire de son
imagination.»

Nous ne doutons pas de ce repentir sincère, mais il est probable
qu'avant de les détruire, Diderot aurait voulu relire les Bijoux;
qu'il aurait alors un peu marchandé; qu'après avoir offert un doigt, il
aurait désiré que ce fût le plus petit, et de la main gauche; qu'il
aurait demandé grâce pour les chapitres sérieux; qu'il aurait, en fin de
compte, trouvé qu'il y en avait si peu qui ne l'étaient pas, que cela ne
valait pas la peine de se préoccuper des autres outre mesure; que,
d'ailleurs, l'expiation par l'exposition perpétuelle de sa faute était
une punition plus réelle que la suppression impossible d'une chose une
fois mise sous les yeux du public; et il aurait fini certainement, après
tous ces raisonnements, comme a fini Naigeon, qui, les ayant faits
aussi, et ayant affirmé que Diderot aurait banni les Bijoux de toutes
les éditions de ses oeuvres, les inséra dans la sienne, en les
augmentant de trois chapitres inédits et en disant: «J'oserai hasarder
un jugement que l'avenir me paraît devoir confirmer: à mesure que les
livres purement et simplement licencieux perdront de leur célébrité,
celui-ci pourrait bien en acquérir, parce qu'on y trouve la satire des
mauvaises moeurs, de la fausse éloquence, des préjugés religieux, avec
une connaissance très-étendue des langues, des sciences et des
beaux-arts, des pages très-philosophiques et très-sages, des morceaux
allégoriques remplis de finesse, avec beaucoup de chaleur et de verve.»
M. Rosenkranz (Diderot's Leben und Werke) signale en effet, parmi ces
morceaux, le Rêve de Mangogul (chap. XXXII) comme un chef-d'oeuvre.

Dans son Catalogue (manuscrit, Bibliothèque de l'Arsenal), M. de
Paulmy dit: «Les Bijoux indiscrets, tirés d'un ancien fabliau intitulé
les C. qui parlent(4). Il s'est ici fort étendu et forme un roman
très-libre, mais agréable. On l'attribue à Diderot. La première édition
est de 1748. C'est ici la seconde, ornée de figures moins médiocres.
L'ouvrage a été traduit en anglais.»

(4: Le titre véritable du fabliau est: Le chevalier qui
faisait parler les c... et les c... (Voyez Fabliaux et Contes
recueillis par Barbazan, édition de Méon, t. III, p. 409.))

Il est assez difficile de se reconnaître dans ces éditions de la
première heure. Dans l'espace de quelques mois, il y en eut six en
Hollande. Elles sont sans date, et portent en général l'indication: Au
Monomotapa, quoiqu'il y en ait qui portent celle de Pékin. La
première était en trois volumes in-12(5). Celle que nous croyons être la
seconde, d'après l'indication de M. de Paulmy, n'en a que deux. Elle a
de fort jolies figures, sans signature. Le frontispice allégorique a
pour sujet: l'Imagination prenant la plume des mains de la Folie et
l'Amour lui dictant. La Folie, habillée en pèlerine, debout, un bâton
surmonté d'une marotte dans la main gauche, tend de la droite une plume
à l'Imagination, à demi vêtue, assise sur un tertre, à l'ombre d'un
arbre et au bord d'un ruisseau. L'Amour, à ses pieds, place une feuille
de papier sur ses genoux.

(5: Nous n'avons pas vu cette édition en trois volumes et nous
doutons. Si nous nous en rapportons à un mot du chapitre XXXV, l'édition
originale n'aurait eu que deux volumes.)

La vignette du titre représente un lit carré, dont un Amour voltigeant
ferme les rideaux, en tirant la langue et en faisant de la main gauche
le geste que les enfants appellent montrer les cornes.

Il y a, en outre, quatre gravures dans le premier volume et deux dans le
second, aux chapitres: Évocation du génie (IV), les Gredins (XXVI),
la Petite Jument (XXXI), le Rêve de Mangogul (XXXII), Événements
singuliers (LI), Zuleïman et Zaïde (LII).

Deux contrefaçons, toutes deux du même nombre de pages, mais avec des
différences typographiques dans le texte, ont cette même suite de
gravures retournées et assez mal exécutées, quoique dans l'une d'elles
les premières planches aient des parties d'une grande finesse. Elles se
distinguent par la vignette du titre qui, dans l'une, consiste en un
cadre dans lequel est représentée une femme à demi nue recevant la
visite d'un pacha vêtu seulement d'un turban extravagant. Le cadre est
surmonté d'un bois de cerf dans lequel est passé un anneau. Sur une
guirlande, on lit: Sunt similia tuis. L'autre porte seulement cette
même devise en trois lignes sur une plaque encadrée de satyres engaînés
et surmontée d'une tête de cerf.

Cazin a donné une édition in-18 avec les figures réduites. Lombard, de
Langres, dans ses Souvenirs, cite ces coquets petits volumes comme
étant de ceux que les colporteurs juifs faisaient passer le plus
facilement et le plus volontiers dans les colléges. Ceci explique
suffisamment l'interdiction prononcée contre les réimpressions, et la
condamnation insérée au Moniteur du 7 août 1835 contre une édition
(1833) du même genre et ayant sans doute même destination.

Voici l'opinion de Clément sur le livre, quand il parut:

«Si je vous connais bien, écrit-il à son correspondant, vous vous
amuserez encore davantage des Bijoux indiscrets(6), grâce à Mangogul,
roi de Congo, qui vient de les faire parler avec tant d'éloquence...
Vous concevez, monsieur, ce qu'avec une pareille idée on peut amener de
situations: l'auteur en a trouvé de bonnes, sans doute... mais il ne
tire pas assez de parti de celles qu'il imagine. Ses détails sont
faibles, ses digressions fréquentes, quelquefois longues, pas toujours
intéressantes. En général, il n'y a pas assez de chaleur dans
l'exécution, de légèreté, de fine plaisanterie, de cette fleur de
gaieté, de ces naïvetés heureuses si nécessaires aux bons contes.»
(Cinq Années littéraires, lettre IV.)

(6: Il venait de lui parler de l'Histoire du Parlement
d'Angleterre, par l'abbé Raynal.)

On voit que Clément prenait la chose comme il fallait la prendre.
Palissot, plus sévère, ne voulut pas rire, et quand Voltaire le pria,
ainsi que l'avait déjà fait le comte de B***, après la première édition
de la Dunciade, de rayer dans les suivantes ses injures à Diderot, il
répondit au patriarche avec indignation:

«A l'égard de M. Diderot, il est très-vrai que je ne l'ai jamais vu,
mais je l'ai lu, par malheur pour l'un de nous deux; et d'ailleurs, il
est un de ceux dont j'ai eu le plus à me plaindre. J'en ai bien du
regret, puisque vous paraissez l'aimer. Par la même raison, je suis plus
fâché encore qu'il ait fait l'article Encyclopédie, le Fils naturel,
le Père de famille, et surtout qu'on lui attribue les Bijoux
indiscrets.»

La Harpe commence son article sur Diderot, dans la Philosophie du
XVIIIe siècle, par une violente attaque contre ce livre. Parmi les
reproches qu'il lui adresse, il insiste particulièrement sur ce point
que, Mangogul étant évidemment Louis XV et Mirzoza Mme de Pompadour,
en ne disant pas d'injures à ces deux personnages, l'auteur n'avait fait
qu'une oeuvre «de la plus basse adulation.» La Harpe avait à ce
moment-c'était après la Révolution-la mauvaise habitude de ne pas lire
ce dont il parlait, et le défaut de ne pas se rappeler ce qu'il avait
lu. Pour donner une idée exacte de sa méthode, nous n'en voulons citer
qu'un exemple, mais il est topique:

«L'auteur, dit-il, si complaisant pour les Sultans, ne l'était pas
autant, à beaucoup près, pour ses confrères les romanciers, car ces
confrères étaient des rivaux, et des rivaux alors beaucoup plus connus
que lui. Aussi ne les ménage-t-il pas. Il fait ordonner au sultan de
Congo, pour somnifère, la lecture de la Marianne, de Marivaux, des
Confessions, de Duclos, et des Égarements, de Crébillon fils.
C'étaient précisément les trois romans nouveaux qui avaient eu dans le
temps le plus de succès. Les trois romans que nous a laissés Diderot
n'approchent pas du moindre de ceux-là: jugez de son équité et de sa
modestie.»

Jugez de l'équité de La Harpe en ouvrant les Bijoux et en lisant à
l'endroit indiqué par lui, chapitre XLVI, non pas somnifère, mais
anti-somnifère, ce qui est quelque peu différent.

Les Bijoux sont un livre à clef. Cette clef n'a point été donnée par
M. G. Brunet dans les deux volumes sous ce titre qu'il a tirés des
papiers de Quérard. Nous indiquerons en note les découvertes que nous
croirons avoir faites dans cette direction. Mais nous devons, dès à
présent, dire que, quoiqu'il soit admis, malgré l'irrégularité de la
filiation dans le roman, qu'Erguebzed est Louis XIV; et Mangogul,
Louis XV; Mirzoza, Mme de Pompadour; Sélim, le maréchal de
Richelieu; le Congo, la France; Banza, Paris; Circino, Newton;
Olibri, Descartes; la Manimonbanda, la reine Marie Leczinska, les
rapprochements qu'on peut tenter ont si peu de consistance, se trouvent
tellement contredits par d'autres passages, qu'il est difficile de
croire que Diderot ait eu l'intention de faire autre chose qu'une
peinture volontairement vague et indécise. Louis XIV, qui est d'abord
Erguebzed, devient plus loin Kanoglou; la majeure partie des noms
qu'on reconnaît sont de la fin du règne de ce roi. On aurait donc tort
de chercher un libelle où il n'y a qu'une improvisation qui n'a pas dû
même être relue par l'auteur.

Selon nous, ce qu'a voulu faire Diderot, c'est surtout la critique de
cette habitude qu'avait Louis XV de se faire lire à son petit lever la
chronique scandaleuse relevée pour lui par les agents de M. Berryer,
alors, et plus tard de M. de Sartine(7). Quant au génie Cucufa, c'est
la personnification du repentir, de la retraite du monde, et l'anneau
qui a de si singulières propriétés, c'est certainement le besoin de
parler qui se présente alors qu'arrive la contrition, et qui pousse les
femmes au confessionnal, où elles disent... tout ou à peu près tout.

(7: Voyez: Journal des inspecteurs de M. de Sartine, Paris et
Bruxelles, 1863, 1 vol. grand in-18, et la Police dévoilée, par
Manuel; Paris, l'an second de la liberté, 2 vol. in-8º.)

Mais arrêtons-nous vite dans ces essais d'interprétation, en songeant
qu'il ne s'agit point ici d'expliquer le Second Faust, mais une simple
bagatelle, et que Diderot se plaint quelque part des commentateurs qui
font dire à leur auteur des choses auxquelles il n'a jamais pensé.

Les Bijoux indiscrets ont été traduits en anglais (1749). Les diverses
éditions en français sont de 1748, 1756, 1772 (éd. d'Amsterdam, rare)
in-12; 1786 (Cazin) in-18; 1833 petit in-8º, fig.




A ZIMA(8)

(8: Il ne nous semble pas que cette jeune fille puisse être,
comme on l'a dit, Mme de Puisieux, qui était jeune, il est vrai, mais
mariée. C'est un nom en l'air. Mme de Puisieux serait plutôt Aglaé,
la sage Aglaé, «des plus vertueuses et des moins édifiantes.»)


Zima, profitez du moment. L'aga Narkis entretient votre mère, et votre
gouvernante guette sur un balcon le retour de votre père: prenez, lisez,
ne craignez rien. Mais quand on surprendrait les Bijoux indiscrets
derrière votre toilette, pensez-vous qu'on s'en étonnât? Non, Zima, non;
on sait que le Sopha, le Tanzaï et les Confessions(9) ont été sous
votre oreiller. Vous hésitez encore? Apprenez donc qu'Aglaé n'a pas
dédaigné de mettre la main à l'ouvrage que vous rougissez d'accepter.
«Aglaé, dites-vous, la sage Aglaé!...» Elle-même. Tandis que Zima
s'ennuyait ou s'égarait peut-être avec le jeune bonze Alléluia, Aglaé
s'amusait innocemment à m'instruire des aventures de Zaïde, d'Alphane,
de Fanni, etc., me fournissait le peu de traits qui me plaisent dans
l'histoire de Mangogul, la revoyait et m'indiquait les moyens de la
rendre meilleure; car si Aglaé est une des femmes les plus vertueuses et
les moins édifiantes du Congo, c'est aussi une des moins jalouses de bel
esprit et des plus spirituelles. Zima croirait-elle à présent avoir
bonne grâce à faire la scrupuleuse? Encore une fois, Zima, prenez,
lisez, et lisez tout: je n'en excepte pas même les discours du Bijou
voyageur qu'on vous interprétera, sans qu'il en coûte à votre vertu;
pourvu que l'interprète ne soit ni votre directeur ni votre amant.

(9: Le Sopha, de Crébillon fils, 1745.-Tanzaï et Néadarné,
du même. Pékin (Paris), 1734.-Les Confessions du Comte de ***, par
Duclos. Amsterdam, 1742. (Br.))





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